ANTIHISTAMINIQUES : atarax....

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les dangers
 
certains antihistaminiques comme le Diphenhydramine et le Diménhydrinate possédent d'importante propriété anticholinergique. Les anticholinergiques sont utilisé contre les spasmes, les nausées, l'insomnie, le mal du transport et dans la maladie de parkinson. Les effets anticholinergique sont des effets indésirable provoqué par beaucoup de médicament mais speciallement par les antihistaminique de premiere génération. Les effets anticholinergique sont trés varié et varient d'une personne à l'autre. Les effets sont à dose normal: sedation, bouche seche, trouble de l'acomodation (voir flou momentanément à moin d'un metre). A dose forte (varie d'une personne à l'autre, les enfants et personnes agée sont les plus touché): euphorie, delire, illusion, hallucination, somnolance, vision floue, bien etre (ou mal-etre) intensse, hébétude, nausée (tres rare, varie des produits), confusion, trouble spatio-temporel, amnesie (perte de mémoire), retension urinaire (du mal à uriner), secheresse des muqueuse (partie génitale, bouche, organe...) provoquant une apparition de carrie, une désydratation, des troubles de la deglutition (du mal à avaler)
 
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A
Le lus incroyable s'est que cet hôpital voulait que je garde contact avec eux me disant que je ne pourrai plus rien faire sans eux
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A
Donc mes proches ne comprennent pas eux aussi mon états d'agitation et de détresse et finissaient par se mettent du coté de l'équipe médical qui me prenait out une imprévisible! .<br /> C'étais effrayant!
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A
Ainsi, s'il sont absent,il est difficile pour les proches de se rendre compte de toutes ces maltraitances et de tous les dégâts causés par ce Négationnismes Médical.
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A
Cet hôpital n’acceptais pas que les parents soit au près de leurs enfants. L’osque l’on est seul, et que l’on est enfant,qu’il est traumatisant de devoir faire face à un phénomène aussi complexe que le Négationnisme Médical !.
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A
Après l’arrêt du médicament je suis retourné à l’hôpital,j''ai immédiatement retrouvé ma vrai personnalité,tout ma lucidité et mon vrai corps.Un mois après être revenue chez moi, je suis revenue à l’hôpital pour un court séjour.J'étais alors tout à fait surprise que je pouvais démontré de A à z au médecins leurs erreurs impardonnables.A ce moment je me suis aperçu que j'en faisait même pâlir certains.Tandis que d'autre se contentaient de me répondre d’une mannière tout à fait détaché" Mais on ne savais pas que ce médicaments t'avais fait autant de mal » alors que que je me suis énormément battu pour que l'on me l'enlève .
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